{"close":false,"body":"\u003Cdiv class=\u0022modal-dialog \u0022\u003E\n \u003Cdiv class=\u0022modal-content\u0022\u003E\n \u003Cdiv class=\u0022modal-header\u0022\u003E\n \u003Cbutton type=\u0022button\u0022 class=\u0022close\u0022 data-dismiss=\u0022modal\u0022 aria-label=\u0022Close\u0022\u003E\u003Cspan aria-hidden=\u0022true\u0022\u003E\u0026times;\u003C\/span\u003E\u003C\/button\u003E\n \u003Ch4 class=\u0022modal-title\u0022\u003ECommentaire de hal11\u003C\/h4\u003E\n \u003C\/div\u003E\n \n\u003Cdiv class=\u0022modal-body\u0022\u003E\n\n\t\u003Cdiv class=\u0022row\u0022\u003E\n\t\t\u003Cdiv class=\u0022col-sm-3 col-xs-4\u0022\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003Ca href=\u0022\/fr\/member\/hal11\/700095641\/\u0022\u003E\n\t\t\t\t\u003Cimg src=\u0022https:\/\/media.services.cinergy.ch\/media\/cropbox160\/02a7aebbc2f953ee7533f97d11757d5d3ad05431.jpg\u0022 class=\u0022circle-lg circle-border\u0022 alt=\u0022hal11\u0022 title=\u0022hal11\u0022 \/\u003E\n\t\t\t\u003C\/a\u003E\n\t\t\t\t\t\u003C\/div\u003E\n\t\t\u003Cdiv class=\u0022col-sm-9 ol-xs-8\u0022\u003E\n\t\t\t\t\t\t\t\u003Ch3\u003E\n\t\t\t\t\thal11\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\u003C\/h3\u003E\n\t\t\t\t\u003\u003EMembre depuis: February 23, 2004 15:50\u003C\/p\u003E\n\n\t\t\t\t\u003Cdiv class=\u0022row spacer-20-up\u0022\u003E\n\t\t\t\t\t\u003Cdiv class=\u0022col-xs-4\u0022\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003Ch4 class=\u0022movie-header-footer-heading hyphenate\u0022\u003ECommentaires\u003C\/h4\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003\u003E166 Films\u003C\/p\u003E\n\t\t\t\t\t\u003C\/div\u003E\n\n\t\t\t\t\t\u003Cdiv class=\u0022col-xs-4\u0022\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003Ch4 class=\u0022movie-header-footer-heading hyphenate\u0022\u003EEvaluations\u003C\/h4\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003\u003E166 Films\u003C\/p\u003E\n\t\t\t\t\t\u003C\/div\u003E\n\n\t\t\t\t\t\u003Cdiv class=\u0022col-xs-4 hidden-xs\u0022\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003Ch4 class=\u0022movie-header-footer-heading hyphenate\u0022\u003EWatchlist\u003C\/h4\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003\u003E6 Films\u003C\/p\u003E\n\t\t\t\t\t\u003C\/div\u003E\n\t\t\t\t\u003C\/div\u003E\n\n\t\t\t\t\t\u003C\/div\u003E\n\t\u003C\/div\u003E\n\n\t\n\t\u003Chr\u003E\n\n\t\u003Cdiv class=\u0022\u0022\u003E\n\t\t\u003 class=\u0022editorial-text\u0022\u003EGrosse d\u00e9ception que ce dernier opus de Tim Burton. \u00c0 mon sens, on peut diviser le film en trois parties :\u003Cbr \/\u003E\r\n1. La premi\u00e8re : on cherche la griffe de Tim Burton, on l\u0026#039;attend, on l\u0026#039;esp\u00e8re. Et, il faut bien l\u0026#039;avouer, on s\u0026#039;ennuie un peu. L\u0026#039;histoire tarde \u00e0 se mettre en place et le personnage principal n\u0026#039;inspire pas beaucoup d\u0026#039;\u00e9motions.\u003Cbr \/\u003E\r\n2. La deuxi\u00e8me : bam, Tim Burton est l\u00e0 ! Son univers se d\u00e9ploie devant nos yeux, on se laisse captiver par sa beaut\u00e9, sa magie, son originalit\u00e9. On en oublie la premi\u00e8re partie, et on en profite \u00e9merveill\u00e9s comme des enfants !\u003Cbr \/\u003E\r\n3. Le r\u00eave vol en \u00e9clats ! Le monde qu\u0026#039;on a tant aim\u00e9 dans la deuxi\u00e8me partie s\u0026#039;effondre, remplac\u00e9 par une sorte de \u0026quot;X-Men\u0026quot; pour adolescents. \u00c0 ce stade, les effets sp\u00e9ciaux prennent le dessus, le sc\u00e9nario abandonne toute coh\u00e9rence et le reste du long-m\u00e9trage est exp\u00e9di\u00e9 vite fait mal fait. On assiste horrifi\u00e9 au massacre de ce qui semblait si prometteur au milieu du film.\u003Cbr \/\u003E\r\nIl y a beaucoup de choses qui ne vont pas dans \u0026quot;Miss Peregrine\u0026#039;s Home for Peculiar Children\u0026quot;, et certaines ne sont tout simplement pas acceptables dans un film dot\u00e9 de pareil budget et impardonnables de la part d\u0026#039;un r\u00e9alisateur comme Tim Burton. En premier lieu, le d\u00e9veloppement des personnages est quasi-inexistant. Le m\u00e9chant par exemple, semble n\u0026#039;avoir aucune profondeur et n\u0026#039;\u00eatre l\u00e0 que pour \u0026quot;\u00eatre m\u00e9chant\u0026quot; (et faire des gags rat\u00e9s). Les enfants de Miss Peregrine sont \u00e9galement creux et peu int\u00e9ressants. Ensuite, il y a toutes les incoh\u00e9rences du sc\u00e9nario. On n\u0026#039;attend bien \u00e9videmment pas d\u0026#039;un film de Tim Burton du \u0026quot;r\u00e9alisme\u0026quot;, mais \u00e7a ne veut en aucun cas dire que le spectateur va accepter ivement tout et n\u0026#039;importe quoi. Enfin, il y a cette rupture effroyable entre la po\u00e9sie du milieu du film et la fin de celui-ci, au point qu\u0026#039;on ne peut s\u0026#039;emp\u00eacher de se demander si le r\u00e9alisateur n\u0026#039;a pas \u00e9 les r\u00eanes \u00e0 Roland Emmerich ou un \u00e9quivalent.\u003Cbr \/\u003E\r\nAu registre des points positifs, il y a bien s\u00fbr les visuels \u0026quot;burtoniens\u0026quot;, le jeu d\u0026#039;actrice d\u0026#039;Eva Green (excellente dans son r\u00f4le) et, dans une moindre mesure, celui de Samuel L. Jackson qui fait ce qu\u0026#039;il peut avec son personnage, et la musique. Mais \u00e7a ne sauve pas cette oeuvre, que je d\u00e9conseille \u00e0 quiconque ayant aim\u00e9 un pr\u00e9c\u00e9dent film de Tim Burton ou appr\u00e9ciant un tant soit peu le cin\u00e9ma.\u003C\/p\u003E\n\t\u003C\/div\u003E\n\u003C\/div\u003E\n\n \u003C\/div\u003E\u003C!-- \/.modal-content --\u003E\n\u003C\/div\u003E\u003C!-- \/.modal-dialog --\u003E\n"} he1