Anora Etats-Unis 2024 – 139min. 3u405b
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Commentaires 5m4w5q
Un chouïa long mais j’ai é un très bon moment. Plusieurs scènes très drôles. Est-ce que ça valait une Palme d’Or… ça se discute. Le gamin russe pourri gâté on a envie de lui mettre des claques. Mikey Madison est très attachante en escort girl qui rêve d’une autre vie et se laisse embarquer dans ce tourbillon sans être pour autant complètement naïve.… Voir plus
Film décevant pour une Palme d’or. Mais Anora est une chic fille, sincère et attendrissante, trop bien pour un grand benêt indigent qu’elle aura fort bien initié à la volupté charnelle. Rien d'autre. Même pas une bande-son intéressante.
Pendant la moitié du film, soit une bonne heure, on se demande où va et qu’en s’arrêtera cette débauche de luxure sans grand intérêt. Puis, comme attendu, ça commence à déraper. Mais sans drame, sans pathos. Cela devient même comique à certains moments et on se demande alors comment ça va pouvoir se terminer.
Un final surprenant, inattendu, touchant. Ce film est non seulement une critique sociale, une dénonciation de la décadence putride que peut engendrer l’argent, mais aussi une dénonciation de l’organisation encore si profondément patriarcale de notre société occidentale, lorsqu’on se rend compte finalement que cette jeune femme, cherchant à sortir de sa condition sociale, est totalement formatée par les comportements vicieux qu’elle subit de ces hommes qui, eux, ne recherchent qu’à assouvir une pulsion. La magnifique scène finale promet une possible nouvelle vie, une résurrection, une histoire d’amour même, et le générique de fin se déroulant en silence, nous restons avec l’émotion de l’héroïne de ce film. Une héroïne naïve, mais comment résister face à tant de si faciles tentations, de rêves vénéneux apparemment à portée de main, touchables.
Cette émotion, elle peut nous emmener jusqu’à la conscience que chacune et chacun d’entre nous peut, dans sa propre vie, contribuer à détruire les rapports de domination qui persistent encore dans toutes nos relations humaines.… Voir plus
Ce film Palme d'or à Cannes est un véritable tourbillon du début à la fin. Le rôle principal, une travailleuse du sexe rencontre le fils d'un riche russe.... mais ien à voir avec pretty Woman. Ce film montre un univers d'alcool, de drogue de sexe de débauche avec une fin logique. En le visionnant, je ne savais pas vraiment comment regardé ce film car certaines scènes frisent le burlesque et finalement j'ai opté pour le sourire et le rire. Ok c'est une Palme d'or, toutefois, ça ne casse pas la "baraque", c'est juste un bon film. (G-26.11.24)… Voir plus
Dernière modification il y a 6 mois
Excellent film qui sort des sentiers battus, avec de beaux jeux d’acteurs, un rythme continu, des surprises, de l’humour et une réalisation impeccable
“La grenade”
Quand Anora rencontre Vanya dans la boîte de striptease où elle s’effeuille, l’attirance est réciproque. Si bien que le morveux d’oligarque l’invite à er la semaine avec lui. Pour le meilleur et pour le pire.
“Pretty woman, walking down the street…” a-t-on envie de fredonner. Si l’on croit encore aux contes de fées en 2024, ceux-ci n’ont plus le glamour influé par Richard Gere et Julia Roberts. Ani, visage atypique entre l’Asie et l’Amérique, ne tapine pas. Mais elle montre ses fesses tatouées et ses seins aux genoux sur lesquelles elle s’assoit à la chaîne. Quant à son pygmalion richissime, c’est un Thimothée Chalamet russe qui joue à la Playstation entre deux séances de baise enfumée. Ce premier jeu de séduction mêlant sexe, drogue et gaspillage de dollars par une jeunesse dorée complètement hors-sol pourrait vite lasser. C’est alors qu’un autre film commence après 1 heure de very bad trip et un mariage coup de tête à Las Vegas qui ne va guère plaire aux parents du fils prodigue. Appelé en plein baptême, le parrain et ses sbires débarquent pour une leçon de cinéma digne de Martin Scorsese ou des frères Safdie. De quoi faire exploser Anora, qui signifierait « grenade » en ouzbek, bien décidée à réaliser son rêve de « f-word » Cendrillon. Dans le rôle, Mikey Madison fuse, elle qui fut carbonisée par Leo DiCaprio dans Once upon a time in Hollywood et ensanglantée dans Scream. La voir escortée par trois gorilles dans la brume de Coney Island est d’un comique rare. Dans la nuit newyorkaise, cette bande de bras cassés en bave autant qu’elle et ne souhaite qu’une chose, retrouver leur femme ou leur grand-mère plutôt que d’affronter la tempête sibérienne. Mais le plus fort dans l’art provocant de Sean Baker, c’est de parvenir en toute fin à nous serrer la gorge, en faisant croire avec un arrière-goût mélancolique que le prince charmant pourrait avoir le regard d’un « violeur » empathique.
(9/10)… Voir plus
Dernière modification il y a 6 mois
J’ai adoré! Les images sont belles, les acteurs sont excellents, les situations dans lesquelles se trouvent les personnages sont souvent très drôles! Je recommande!
Bien décevant ce Palme d'or 2024: Un peu trop fucking long, des scènes trop fucking répétitives, des dialogues fucking maigres, de l'humour fucking lourd. Vous l'aurez compris, un mot sur deux dans Anora est "fucking".
Le film tourne autour des caprices d'un gamin russe immature et hyper riche, en vacances aux États-Unis, qui, entre deux jeux vidéo, épouse sur un coup de tête sa strip-teaseuse privée et escort- girl. Celle-ci croit un momment au Père Noël sans toutefois oublier de monnayer au plus fort ses prestations sexuelles et elle s'offusque fucking grave lorsque les parents du rejeton se réfèrent à elle comme une prostituée.
Opulence matérielle et indigence sentimentale et intellectuelle. Film à déconseiller.
2/5… Voir plus
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