En tongs au pied de l'Himalaya 2024 – 93min. 2m372i
Critique du film s3n37
Un fils pas comme les autres 2r2t3u
Après «Tout Simplement Noir» en 2020, coréalisé avec Jean-Pascal Zadi, John Wax change de genre et présente son deuxième long métrage. À cheval entre comédie et drame, «En tongs au pied de l’Himalaya» met joliment l’autisme en scène, sans exagération.
Andréa (Audrey Lamy), va tout faire afin d’apporter la stabilité dont il a besoin. Bon gré, mal gré, Pauline est là pour son fils.
Podcast, seule-en-scène autobiographique et maintenant long-métrage cinématographique, «En tongs au pied de l’Himalaya» se décline sur tous les formats. À l’origine, c’est l’histoire de John Wax, s’inspire et qu’il transpose à l’écran.
Dans la fiction, Marie-Odile devient Pauline, interprétée par Marie-Odile Weiss pour réussir à capturer les nuances d’une personne diagnostiquée d’un trouble du spectre autistique. Et il s’en sort irablement.
S’il se pare d’une aura principalement comique, «En tongs au pied de l’Himalaya» n’échappe pas aux quelques rares instants de sentimentalisme surfaits. Sa construction et ses dialogues, sans véritable originalité, n’enlèvent pourtant rien à la justesse de son ton. Avec légèreté, il décrit ainsi les difficultés d’une famille atypique, mise de côté par la société. Un long métrage décalé qui se regarde avec tendresse.
Votre note y2q30
CommentairesPlus 5o2z6s
Un film très humaniste mais qui dénote une sensation de détresse. Il n'en reste pas moins que c'est émouvant avec un scénario très réel et touchant, traitant de l'handicap d'un enfant. Les rôles sont bien distribués avec une Audrey Lamy dans "à sa place". (G-01.12.24)
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