Mickey 17 Royaume-Uni, Etats-Unis 2024 – 137min. 5k3945

Communiqué de presse 5h1g1f

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Bong Joon Ho , scénariste et réalisateur oscarisé pour PARASITE , signe une nouvelle oeuvre visionnaire avec MICKEY 17. Héros malgré lui, Mickey Barnes (Robert Pattinson) se tue à la tâche... littéralement ! Car c'est ce qu'exige de lui son entreprise : mourir régulièrement pour gagner sa vie.

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geradupo 5w3e3j

il y a 1 mois

C’était jouissif et je n’ai pas vu er le temps! Comme quoi on peut toujours proposer un film de SF et une histoire de clonage en étant original.


CineFiliK 5y3p7

il y a 2 mois

“Meurs un autre jour”

Pour échapper à une dette létale sur la terre, Mickey Barnes accepte de devenir un « remplaçable » pour une mission spatiale colonisatrice. Ainsi, devient-il un cobaye jetable et réimprimable à l’infini.

2 Robert Pattinson pour le prix d’1 ! C’est bien l’action du jour, puisque Mickey 17e du nom, laissé pour mort au milieu de créatures rampantes soi-disant carnivores, parviendra à retrouver le chemin vers le vaisseau mère pour y croiser le fer avec son clone numéro 18. De quoi permettre à l’acteur de jouer les bonnes pâtes d’un côté et un homme avide de vengeance de l’autre. Comme si Buster Keaton rencontrait sa version « Tueur en série ». The Edge of tomorrow avec Tom Cruise se rappelle alors à nous. Lui aussi démultipliait sa star, prenant un plaisir malin à l’écrabouiller pour mieux la voir renaître jusqu’au « Game over ». Mis à part ce double rôle, une déception manifeste fait plier le dernier Bong Joon Ho, parasité par une production peu confiante. Sous les cieux hollywoodiens, le réalisateur coréen palmé et oscarisé semble avoir perdu le fil et la mainmise sur son propre film. Alors que la satire cruelle d’un capitalisme impérialiste et spéciste laissait présager du meilleur, le scénario s’enfonce dans le grotesque et e à côté des questions lancées. L’âme est-elle soluble dans le corps ? Qu’est-ce que mourir si la résurrection est immédiate ? L’humain serait-il devenu un consommable recyclable et sans réelle valeur ? Aucun de ces thèmes n’est poussé à bout, suré par une bouffonnerie malmenée dans la laideur.

L’on retrouve dans cette histoire la hiérarchie dystopique du Transperceneige symbolisée par un couple despotique et des troupes réduites à un régime strict en attendant que leur semence infeste la nouvelle planète. Casquette rouge sur la tête, bronzage artificiel et petite danse des bras, le bonhomme ridicule rappelle l’agent orange de la Maison blanche après avoir gobé son complice « kétaminé ». Mais toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite et involontaire, bien entendu. Quant à son épouse, ce sont les queues en sauce qui inspirent sa folie. Dans cette ironie plus mordante qu’amusante, ce sont une fois de plus les aliens, sortes d’acariens géants, qui font preuve d’humanité.

(5/10)Voir plus

Dernière modification il y a 2 mois


Eric2017 142r4c

il y a 2 mois

Autant j'ai aimé Parasite, autant Mickey 17 n'a pas du tout é. C'est long, interminable et ennuyeux au possible. Et chose unique 6 personnes ont quittés la salle en plein film. J'ai failli le faire. Il faut le dire ce film pour moi c'est du n'importe quoi. (F-09.03.25)


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